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pat- Messages : 1898
Date d'inscription : 31/07/2007
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Dim 26 Nov 2023 - 18:57
Ce n’est pas l’existence du mal en tant que tel qui me choque. Il est la condition de notre liberté s’exprimant par un choix. En effet, le mal et le bien conditionnent notre liberté.
Ce n’est pas l’existence de notre égo qui me trouble, il est aussi la condition de notre survie. Il est un puissant moteur de protection.
Ce qui me choque, c’est la puissante attraction que l’Humain a vis à vis du mal. Alors qu’on le dit programmé par l’énergie cosmique ou image et Ressemblance du divin comment se fait-il que l’humanité globalement soit autant dénuée de bonté.
L’évocation d’un hypothétique et incompréhensible péché originel me semble extravagant.
Dès lors pourquoi l’humain choisit-il une voie aussi écarté de ses propres intérêts de survie . C’est contre nature et pourtant ça continue.
Je ne comprends pas, je ne comprends plus la beauté du monde si elle n’accompagne pas la beauté de l’Homme lui-même, rivé à la beauté du divin dont il est une étincelle
En tant que passager sur cette terre, ma seule réalité est la Vie. La vie terrestre qui vue en accéléré se présente sûrement comme un véritable bouillonnement d’apparition et de disparition. Qui suis-je, en effet, petite goutte d’eau, d’un océan dont les vagues se renouvellent sans cesse en flux et reflux rejetés aux abîmes.
Qui suis-je ? Une vie donnée parmi d’autres.
Plus ou moins long chemin de jubilation et de chagrin, c’est selon.
Parfois, un incompréhensible mélange des deux. Heureuses créatures !
Mais que dire de ceux qui n’ont jamais mangé à leur faim et qui ont fini par en mourir ?
D’autres, à peine nés, innocentes pâture à la violence.
Aussi loin que peut remonter les souvenirs, personne n’est en mesure de dire s’il a choisi de s’incarner en connaissance de cause.
Dans la mesure ou nous n’avons pas choisi de venir sur cette terre, la vie n’a de sens que dans la mesure de la bienveillance qui l’accueil. Si le monde n’est pas capable de rendre cet accueil heureux, alors à quoi bon tant de mises en scène.
Retirer cette vie à quelqu’un ou faire en sorte qu’elle ne s’épanouisse pas est un crime contre l’humanité. Appliquer quelques baumes sur quelques plaies n’est pas suffisant.
Si nos croyances religieuses, philosophiques, métaphysiques ne nous amènent pas à respecter la Vie, elles sont inutiles.
La croyance en un Créateur n’a aucun sens si nous ne respectons pas la Vie dont il est l’essence même. Car le Créateur n’a d’autre réalité pour nous que par la Vie que nous avons reçue de Lui.
Notre Vie naît de la sienne.
Ce n’est pas l’existence de notre égo qui me trouble, il est aussi la condition de notre survie. Il est un puissant moteur de protection.
Ce qui me choque, c’est la puissante attraction que l’Humain a vis à vis du mal. Alors qu’on le dit programmé par l’énergie cosmique ou image et Ressemblance du divin comment se fait-il que l’humanité globalement soit autant dénuée de bonté.
L’évocation d’un hypothétique et incompréhensible péché originel me semble extravagant.
Dès lors pourquoi l’humain choisit-il une voie aussi écarté de ses propres intérêts de survie . C’est contre nature et pourtant ça continue.
Je ne comprends pas, je ne comprends plus la beauté du monde si elle n’accompagne pas la beauté de l’Homme lui-même, rivé à la beauté du divin dont il est une étincelle
En tant que passager sur cette terre, ma seule réalité est la Vie. La vie terrestre qui vue en accéléré se présente sûrement comme un véritable bouillonnement d’apparition et de disparition. Qui suis-je, en effet, petite goutte d’eau, d’un océan dont les vagues se renouvellent sans cesse en flux et reflux rejetés aux abîmes.
Qui suis-je ? Une vie donnée parmi d’autres.
Plus ou moins long chemin de jubilation et de chagrin, c’est selon.
Parfois, un incompréhensible mélange des deux. Heureuses créatures !
Mais que dire de ceux qui n’ont jamais mangé à leur faim et qui ont fini par en mourir ?
D’autres, à peine nés, innocentes pâture à la violence.
Aussi loin que peut remonter les souvenirs, personne n’est en mesure de dire s’il a choisi de s’incarner en connaissance de cause.
Dans la mesure ou nous n’avons pas choisi de venir sur cette terre, la vie n’a de sens que dans la mesure de la bienveillance qui l’accueil. Si le monde n’est pas capable de rendre cet accueil heureux, alors à quoi bon tant de mises en scène.
Retirer cette vie à quelqu’un ou faire en sorte qu’elle ne s’épanouisse pas est un crime contre l’humanité. Appliquer quelques baumes sur quelques plaies n’est pas suffisant.
Si nos croyances religieuses, philosophiques, métaphysiques ne nous amènent pas à respecter la Vie, elles sont inutiles.
La croyance en un Créateur n’a aucun sens si nous ne respectons pas la Vie dont il est l’essence même. Car le Créateur n’a d’autre réalité pour nous que par la Vie que nous avons reçue de Lui.
Notre Vie naît de la sienne.
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